Relatif à la conscience suprême,
l’intelligence vivante vise à s’épanouir,
à rayonner hors des limites instables de la dualité.

Cette émanation suprême
attire l’énergie qui se dilate
au fur et à mesure de l’avancement de
l’ego.

Appliquée à la vie,
elle n’échappe pas aux règles les plus élémentaires de l’univers,
mais transcende l’ironie du sort
en apportant un point de vue
suffisamment large pour évoluer,
s’envoler dans l’espace qui sépare l’être
du non-être.

Un rien suffit à franchir cette porte
qui s’ouvre sur une nuit
lumière où,
anges et démons,
dieux et bêtes,
rêvent l’univers
qui nous entoure.

Le gardien laisse passer l’âme
qui veille au bon déroulement de l’action
qui débute à l’origine.

Il n’intervient que lorsqu’une aide extérieur se fait sentir.

Sortit du dilemme de la tête, son coeur bât la campagne
pour faire prévaloir ses droits
sur l’humain qui bataille sans cesse avec lui-même
et cherche désespérément à comprendre.

Rien n’est qui vaut la peine d’être mal,
sans but, sans rien d’autre que soi
et qui à la fin s’endort pour oublier
la réalité forte de la vie.